PERPIGNAN MEDITERRANEE (66) – Maitrise d’œuvre pour l’aménagement des berges du fleuve Têt sur 22 km

PERPIGNAN MEDITERRANEE (66) – Maitrise d’œuvre pour l’aménagement des berges du fleuve Têt sur 22 km

Le projet de valorisation des Berges de la Têt s’inscrit dans le cadre du Projet de Territoire, TERRA NOSTRA définissant l’avenir du territoire et guidant l’action des élus locaux.

Le projet de valorisation des berges de la Têt devait répondre à plusieurs objectifs de ce projet de territoire :

  • la préservation et la protection écologique et environnementale du site,
  • le confortement de la trame verte et bleue de l’agglomération avec la Têt comme armature,
  • le renforcement des valeurs sociétales, patrimoniales et culturelles/historiques,
  • la création d’un axe de développement pour les modes de déplacements doux sur le territoire.

 

L’ambition est donc de révéler et de valoriser le fleuve côtier, la Têt, qui traverse 11 communes de Perpignan Méditerranée et se jette à la mer sur le territoire de la Communauté d’Agglomération. Perpignan Méditerranée concentre le tronçon le plus emblématique, celui de l’embouchure du fleuve.

 

En tant que bureau d’études environnement et écologie au sein de l’équipe de maitrise d’œuvre pilotée par les paysagistes de l’agence BASE, EODD ingénieurs conseils est intervenu à toutes les échelles du projet via :

  • Une approche grand territoire, avec une première réflexion sur le profil longitudinal des 26 km et perpendiculaire de la Têt (frange de 400 m de part et d’autre). La mission comprenait le diagnostic, l’élaboration du plan paysage, puis le plan guide et l’esquisse du Plan de Gestion.
  • La mission de maitrise d’œuvre portant sur l’aménagement de la section urbaine (7 km), dans un premier temps, et se développant ensuite sur les autres tronçons. EODD a notamment assuré la mission de référent écologie et développement durable au sein de l’équipe et le suivi environnemental du chantier intégrant notamment les enjeux écologiques.
  • La prise en charge des dossiers réglementaires, notamment l’état initial de l’environnement (cartographie des habitats, etc.), l’étude d’impact, et la réalisation du dossier de dérogation de destruction d’espèces ou d’habitats.